Les appareils qui aident les personnes à fonctionner au quotidien coûtent cher en Afrique : voici pourquoi
Tout le monde a droit à des objets spécifiques ainsi qu’à des appareils qui peuvent les aider à fonctionner dans la vie quotidienne. C’est la position de l’Organisation mondiale de la santé (THAT) qui a publié une liste de l’un des appareils les plus vitaux. Il se compose de points tels que l’aide à la marche, les appareils de mobilité et également les afficheurs braille.
Pourtant, les technologies d’assistance, comme on les appelle, sont difficiles d’accès dans plusieurs régions d’Afrique. Il s’agit d’un enjeu important puisque la survenue de handicaps sur le continent est estimée à 15,6%. Avec une population de plus d’un milliard d’habitants, le nombre de personnes recherchant au moins un produit d’assistance en Afrique s’élève à plus de 200 millions. Ce nombre devrait augmenter d’ici à 2050.
Cela se rapproche du fait qu’environ 15 à 25 % de ceux qui recherchent des produits d’innovation d’assistance en Afrique y ont actuellement accès.
Notre étude a cherché à comprendre pourquoi et à utiliser des options pour ce problème.
Droits humains
Les technologies d’assistance sont des gadgets fonctionnels, adaptatifs et correctifs. L’OMS maintient un engagement international pour les rendre plus facilement disponibles ; les Nations Unies les considèrent également comme un droit humain fondamental. En effet, certaines personnes en ont besoin pour exercer leurs droits légaux.
Sans accès à la technologie d’assistance moderne dont ils ont besoin, les individus peuvent faire face à l’exemption et pareillement être menacés par la pauvreté. Ils pourraient aussi être considérés comme une préoccupation pour les membres de leur famille ainsi que pour la société. L’impact positif des éléments d’innovation d’assistance va bien au-delà de l’amélioration de la santé et de la santé des individus. Il y a aussi les avantages socio-économiques de minimiser les frais de bien-être directs et d’avoir une pression de travail plus productive, stimulant indirectement le développement économique.
La Convention des Nations Unies de 2006 relative aux droits juridiques des personnes handicapées et son protocole facultatif ont été élaborés rapidement et bien soutenus par les États membres. C’était également la première convention sur les droits civiques à être ouverte à la signature d’organisations mixtes locales. Cependant, sa mise en œuvre a été instable, en particulier en Afrique.
Notre équipe pense que c’est l’idéal décrit par la suggestion de lacunes financières et aussi politico-institutionnelles. Ce sont principalement des espaces dans les systèmes politiques et économiques, les politiques commerciales et les marchés.
L’absence d’intermédiaires spécialisés, de conceptions réglementaires et de mécanismes de mise en œuvre d’accords entraîne des coûts de transaction plus importants pour opérer ou peut-être entrer sur les marchés. Voir le problème en faisant cela aide pareillement à montrer comment le résoudre et à obtenir un accès équitable aux technologies d’assistance modernes.
Espaces institutionnels
Au départ, il y avait peu de fabrication de technologies d’assistance en Afrique, car les pièces sont généralement coûteuses à fabriquer. De nombreux fabricants autochtones utilisent des produits bruts et non standardisés.
Deuxièmement, les technologies d’assistance qui n’est pas créées dans votre région coûtent cher à importer. Il n’y a pas de cadre de péage unifié pour eux sur le continent. Cela suggère que les prix varient considérablement d’un pays à l’autre. Souvent, lorsque des technologies d’assistance sont importées malgré des péages élevés, elles peuvent devoir être ajustées au contexte du quartier. Cela augmente les dépenses aussi mieux.
Troisièmement, les technologies d’assistance modernes sont pour la plupart exclues des systèmes de financement et d’assurance de la santé et du bien-être sur le continent. Ils sont rarement inclus dans les principaux catalogues de magasins médicaux.
Quatrièmement, il n’y a pas suffisamment de personnes à tous les niveaux du système de bien-être possédant les connaissances et les compétences nécessaires pour offrir des services et des produits de technologie moderne d’assistance.
Cinquièmement et surtout, il n’existe pas de cadre administratif unifié pour les innovations d’assistance sur le continent. Et il y a un manque répandu de reconnaissance concernant pourquoi ils sont indispensables et comment ils peuvent améliorer la vie des personnes qui en ont besoin.
De nombreux pays africains n’ont pas de politiques ou de programmes nationaux de technologie d’assistance. Pour cette raison, l’accès aux articles d’assistance est difficile et beaucoup sont laissés pour compte. Solutions Les gouvernements fédéraux africains doivent fournir un leadership, une synchronisation et des sources pour concevoir et mettre en œuvre des politiques qui améliorent l’accès aux technologies d’assistance.
Agir sur la structure locale africaine de l’OMS est un excellent point de départ. Le cadre a des objectifs modérés. Par exemple, il demande à 40% des États participants africains d’avoir évalué leur scénario de technologie d’assistance moderne et de créer une technique nationale pour améliorer l’accessibilité d’ici à 2024. Cela aidera sans aucun doute 40% de la population en Afrique qui a besoin de produits d’assistance pour les obtenir sans souffrant de difficultés économiques.
L’Union africaine peut prendre le relais de l’Union européenne. L’étude parlementaire européenne Solution a commandé et également publié un rapport détaillé sur les innovations d’assistance. Le rapport couvre les points de vue financiers, politiques et socio-éthiques et tente de réaliser les affirmations selon lesquelles l’innovation assistée sont un droit humain fondamental. Une telle analyse ciblée et approfondi fait défaut en Afrique.
Pour produire des innovations sur le continent, l’Union africaine doit développer une stratégie de marché. Le marché actuel est celui où les joueurs sont chargés de se prendre en charge, donc confrontés à des coûts de fonctionnement élevés. Ces coûts rendent inévitablement coûteuses les technologies d’assistance modernes.
Les fabricants doivent aussi accepter un avancement économe – la procédure consistant à minimiser la complexité et les dépenses d’un produit et de sa fabrication, généralement en éliminant les fonctionnalités superflues.
Les employés certifiés sont une autre partie de la solution
En fin de compte, mais peut-être le plus important, une enquête organisée est nécessaire pour mettre en évidence les lacunes dans la compréhension économique, politique, scientifique et médicale de la croissance et de la diffusion de l’innovation d’assistance en Afrique, ainsi qu’une méthode unifiée pour résoudre les problèmes.
Cela aiderait des millions de personnes en Afrique à atteindre leurs droits juridiques fondamentaux tels que l’accessibilité à l’éducation, la flexibilité de vivre et le droit de fonctionner.