La philosophie durant la pandémie

La philosophie durant la pandémie

La philosophie durant la pandémie

Que sommes-nous quand nous ne sommes plus nous-mêmes ?

La philosophie : exactement comment elle a aidé tout au long de la pandémie. À quel point la philosophie a aidé Kiran tout au long de la pandémie :

Dans ce qui ressemble à un acte exclusif à l’heure des sorcières, j’allume des bougies et je m’inscris à un séminaire Zoom. Contexte idéologique à minuit. J’appartiens à une équipe de personnes qui se réunissent tous les quinze jours pour ruminer le gouffre sans fond des pensées profondes. Politique : passez en revue le sujet choisi, et pensez à allumer la bougie.

Pas de surprise, car il est minuit, je me sens épuisé, pourtant cette équipe veut subir la caverne de Platon. Dans mon étude au Pays de Galles, je suis parmi de nombreux autres sur l’appel téléphonique Zoom. Des personnes sont assises à New York, dans l’Ohio et au Danemark. Certains sont mignons et hochent joyeusement la tête, et certaines complètent les préoccupations. J’ai nui à ma propre réglementation, ne jamais revoir ou discuter de philosophie tard dans la nuit. La technique est comme le fromage ; il ne faut pas manger le soir.

La philosophie durant la pandémie: quelle est la signification de la vie ?

Certaines questions sont plus difficiles à répondre que d’autres. L’une des préoccupations les plus complexes est celle des questions fondamentales avec très peu de mots : “Quel est le sens de la vie ?” En presque un an de répit forcé de la vie telle que nous la comprenons, c’est une inquiétude que la plupart d’entre nous se sont permis de méditer. Et, en plus, pourquoi ne serions-nous pas tous lourds ? Nos vies ont été gâchées.

Les terroristes de l’État islamique à l’origine de la vidéo du meurtre du journaliste James Foley transportés par avion aux États-Unis pour y être jugés Les ventes du livre Méditations du stoïcien et vieux philosophe Marc Aurèle ont augmenté à cause de la pandémie . Ce n’est donc pas simplement moi qui me suis appuyé sur l’approche.

Le point de vue de l’idéologie

J’ai réfléchi à l’idéologie à l’université. Il n’est alors pas surprenant que ma technique de résolution des problèmes de la vie ait été, eh bien, réfléchie. Dans un confinement, je m’accroche à l’ancien penseur, Héraclite, qui emporte que la vie est un état d’ajustement significatif.

Je me sentais un peu indésirable pour convenir à l’exil de la normalité. Je n’ai pas ressenti la même détresse que le membre de ma famille. Ce n’est pas facilement Héraclite que je dois devoir pour ma témérité ; ce sont les stoïciens. L’ancienne croyance dépendait de l’acceptation de la suggestion que de mauvaises choses nous arriveraient, ainsi que de l’élimination de la piqûre dont nous avons besoin pour imaginer qu’elles le sont.

Nous devons accepter que nous ne puissions pas transformer ce qui se passe à l’extérieur, mais à l’intérieur.

Nous ne pouvons pas modifier de nombreux facteurs. Mais, notre pouvoir dépend de la façon dont nous réagissons aux points cruciaux qui nous arrivent.

La philosophie durant la pandémie: le trou du lapin

Beaucoup de personnes supposent qu’elles ne croient pas que tomber dans l’ouverture du lapin ne vous donnent pas d’espace ; vous regardez droit dans un vide, juste pour que l’abîme vous considère. Cependant, ce n’est pas seulement l’augmentation des ventes de Méditations qui montre à quel point la plupart d’entre nous sont réfléchis. Ce sont également les problèmes que nous avons posés dans notre apathie cumulative.

Nous sommes tous habitués à être équipés de ce qui fait de nous ce que nous restons à nos yeux : le travail, nos proches, mais pareillement les loisirs que nous avons choisis. Nous avons été dépouillés de qui nous pensions être pendant la pandémie et le confinement. Alors que sommes-nous quand nous ne sommes plus nous-mêmes ?

Lors du premier confinement, j’ai gardé à l’esprit que les discussions que j’avais avec mes amis et les membres de ma famille concernaient la façon dont nous chargeons nos journées, qui étaient progressivement imprégnées d’un nuage fixe de désintérêt.

L’approche existentialiste

Le penseur existentialiste Jean-Paul Sartre a dit : « Vous n’êtes rien d’autre que le nombre de vos activités et c’est ce concept que nous avons bien familiarisé, que nous n’avons jamais pris conscience de Sartre ou non. Nous avons commencé à faire du pain aux bananes et avons tenté de découvrir de toutes nouvelles langues. Et, des capacités uniques dans un état de panique.

La pandémie nous a donné le temps de montrer et de poser les questions que nous posons uniquement lorsque nous sommes un peu floconneux. Le point de vue ne vient pas des vieux professeurs en polos noirs ou des prétentieux. Supposer que l’on reconnaît quoi que ce soit et par conséquent n’a pas besoin de regarder dans la pièce est une folie totale.

Un sage a vite dit : je suis le plus intelligent pour vivre puisque je reconnais tout. C’est ce que je ne me souviens de rien.


Passez en revue le message d’origine sur Independent.co.uk.

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