Un chercheur de données recommande que de nombreuses observations de Bigfoot puissent être des observations d’ours

Un chercheur de données recommande que de nombreuses observations de Bigfoot puissent être des observations d’ours

Crédit : Unsplash/CC0 Public Domain

Floe Foxon, informaticienne chez Pinney Associates, a comparé le nombre d’ours séjournant dans certaines régions d’Amérique du Nord avec la variété d’observations de Bigfoot au fil des ans et recommande qu’il existe une corrélation.

Dans un article publié sur le site de préimpression bioRxiv, M. Foxon s’est appuyé sur des recherches antérieures comparant les observations de Bigfoot et d’ours dans la région du nord-ouest du Pacifique à l’ensemble du territoire continental des États-Unis et du Canada.

Les observations de Bigfoot – également connu sous le nom de Sasquatch, un gros animal poilu ressemblant à un humain – sont signalées depuis de nombreuses années. De nombreux groupes de scientifiques ont mené des recherches pour savoir si ces animaux existent réellement. À ce jour, toutes ces études, qui consistent à analyser l’ADN de fourrures et d’excréments découverts dans la nature, n’ont pas permis de découvrir de preuves de l’existence de ces créatures. Cependant, les rapports d’observations continuent.

Selon certains, les observations de Bigfoot pourraient s’expliquer par le fait que les gens confondent un autre animal avec un Bigfoot. Dans de telles situations, le coupable probable serait l’ours noir. Ces ours ont une taille similaire à celle des individus et, à l’occasion, on les a vus se comporter et se déplacer de manière identique à celle des humains – se tenir debout ou marcher sur leurs pattes arrière, par exemple.

La variété de Bigfoot

Plusieurs études antérieures ont examiné la variété des observations de Bigfoot dans certaines parties du Nord-Ouest du Pacifique, où se produisent la plupart des observations de Bigfoot, par rapport aux populations d’ours, et ont découvert ce qu’ils décrivent comme des corrélations. Dans cette nouvelle initiative, Foxon s’est appuyé sur ces recherches en élargissant le champ de l’étude à l’ensemble des États-Unis continentaux et du Canada.

Le travail a consisté à diviser les deux pays en États ou provinces, en tenant compte de facteurs tels que la population humaine, la couverture forestière et la présence d’autres espèces sauvages. Ensuite, les emplacements des populations d’ours ont été reportés sur une carte, suivis des rapports d’observation de Bigfoot.

Foxon a découvert beaucoup plus de cas d’observation de Bigfoot dans les groupes où les ours étaient censés vivre, par rapport aux zones où il y avait peu ou pas d’ours. Il est donc fortement recommandé que la plupart des observations de Bigfoot soient en fait des observations d’un ours noir sauvage en action.


Lire l’article original sur PHYS.

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